HĂŽtel Singer Upload mediaInstance ofprivate mansionLocationParis, Metropolis of Greater Paris, Ăle-de-France, Metropolitan France, FranceCommissioned byLouis SingerOwned bySociĂ©tĂ© des ingĂ©nieurs Arts et MĂ©tiersofficial website48° 51âČ N, 2° 17âČ EAuthority control Q61968721ReasonatorScholiaPetScanstatisticsWikiMapLocator toolKML fileWikiShootMeOpenStreetMapSearch depicted HĂŽtel Singer, siĂšge de la SociĂ©tĂ© des ingĂ©nieurs Arts et MĂ©tiers, anciens Ă©lĂšves de l'Ăcole Nationale SupĂ©rieure des Arts et MĂ©tiers, 9 et 9 bis avenue d'IĂ©na Paris, 16e.Soce- Arts & Metiers Alumni. La SociĂ©tĂ© des ingĂ©nieurs Arts et MĂ©tiers regroupe les Ă©lĂšves et anciens Ă©lĂšves de l'Ăcole nationale supĂ©rieure d'Arts et MĂ©tiers, soit Ă ce jour 34 000 ingĂ©nieurs Arts et MĂ©tiers (appelĂ©s Gadzarts) actifs au sein du plus important rĂ©seau europĂ©en d'anciens Ă©lĂšves d'une grande Ă©cole d'ingĂ©nieurs.
RĂ©sumĂ© Dans le cadre du concours "Projet Parabole", organisĂ© par le CNES Centre National dâĂtudes Spatiales, des Ă©tudiants du campus Arts et MĂ©tiers dâAngers ont testĂ© un bras robotisĂ© dans un environnement en apesanteur. Un projet qui illustre les compĂ©tences acquises par les Ă©tudiants Arts et MĂ©tiers pour relever les dĂ©fis humains, sociaux et technologiques de lâindustrie du futur.
LĂcole nationale supĂ©rieure d'arts et mĂ©tiers (ENSAM [2], de nom de marque Arts et MĂ©tiers Sciences et Technologies ou Arts et MĂ©tiers ParisTech) est l'une des 204 Ă©coles d'ingĂ©nieurs françaises accrĂ©ditĂ©es au 1 er septembre 2020 Ă dĂ©livrer un diplĂŽme d'ingĂ©nieur [3].Elle fait partie depuis 2013 de Hautes Ăcoles Sorbonne Arts et MĂ©tiers UniversitĂ© (HESAM).PubliĂ© le 27 nov. 2017 Ă 1735Mis Ă jour le 30 nov. 2017 Ă 1322Les âingĂ©â en herbe passionnĂ©s de dĂ©veloppement durable ont lâembarras du choix. Les 205 Ă©coles françaises dâingĂ©nieurs se sont adaptĂ©es pour subvenir Ă leur demande, qui fait Ă©cho aux besoins de certaines industries..Alain Vassal, expert Ă l'Ecole spĂ©ciale des travaux publics, du bĂątiment et de lâindustrie ESTP et coordinateur pĂ©dagogique dans la filiĂšre âBĂątimentâ confirme âLe dĂ©veloppement durable a profondĂ©ment rĂ©volutionnĂ© les mĂ©tiers dâingĂ©nieur, de maĂźtre dâouvrage, de mainteneur. Nous leur apprenons Ă penser en fonction du cycle de vie global dâun bĂątiment ou dâune infrastructure, et Ă prendre en compte la complexitĂ© des problĂšmes posĂ©s par le dĂ©veloppement durableâ.Depuis 2008, lâĂ©cole a par ailleurs dĂ©veloppĂ© des enseignements dĂ©diĂ©s Ă ces questions en 1Ăšre et 2Ăšme annĂ©e, ainsi que deux options durables pour les 3Ăšmes annĂ©es "bĂątiment et ville durable" et "amĂ©nagement territorial et urbain".La construction durable, avec le travail de matĂ©riaux biosourcĂ©s comme le bois, la terre crue ou la terre, connaĂźt un essor important. Depuis 2010, le recours Ă ces matĂ©riaux issus de la biomasse a doublĂ©, passant de 5% Ă 10% du marchĂ© de la construction des maisons bĂątiment a un impact lourd sur l'environnement. Aujourd'hui, 50 % des matiĂšres extraites en Europe vont au secteur de la construction. Cette industrie reprĂ©sente entre 5 et 10% de toutes les Ă©missions de CO2 planĂ©taires. Les matĂ©riaux durables sont donc un enjeu Ă la fois pour le logement mais Ă©galement en matiĂšre de lutte contre la Paris Saclay, lâEcole Nationale des Travaux Publics dâEtat, les Arts et MĂ©tiers Paris Tech, lâEcole supĂ©rieure dâingĂ©nieurs des travaux de la construction de Caen⊠Ces derniĂšres annĂ©es, la plupart des Ă©coles dotĂ©es de formations en BTP ont dĂ©veloppĂ© une offre sur âla ville durableâ, âlâindustrie durableâ, ou âla construction durableâ.Une sensibilisation dĂ©veloppĂ©e dans de nombreux cursusAu-delĂ des Ă©coles spĂ©cialisĂ©es, les enseignements liĂ©s au dĂ©veloppement durable ont fleuri un peu partout dans les Ă©coles dâingĂ©. Câest le cas notamment de lâEfrei, lâĂ©cole dâingĂ©nieurs gĂ©nĂ©raliste en informatique et technologies du numĂ©rique. LâĂ©cole, qui ne disposait alors que dâoptions au thĂšme de lâenvironnement, se prĂ©parerait Ă intĂ©grer ces enjeux dans le tronc commun avec une majeure âĂ©nergies nouvelles et rĂ©seaux intelligentsâ pour prise de conscience qui se dĂ©veloppe au niveau de lâengagement Ă©tudiant âQuand jâai pris la tĂȘte de lâassociation Symbiozâ, lâasso verte de lâEfrei, nous Ă©tions 3. A la fin de lâannĂ©e, nous Ă©tions 25, et avec de beaux succĂšs en termes d'Ă©vĂ©nements et dâactivitĂ©s organisĂ©sâ, raconte Laure Guiboa, jeune diplĂŽmĂ©e les enjeux du dĂ©veloppement durable sont traitĂ©s tant de maniĂšre transversale, avec des cours de sensibilisation et des options, que de maniĂšre plus approfondie par des formations en alternance ou des mastĂšres spĂ©cialisĂ©s. Ces derniers, rĂ©vĂ©lateurs des nouvelles orientations de lâenseignement et de la recherche, se sont multipliĂ©s ces derniĂšres annĂ©es on dĂ©nombre plusieurs dizaine de mastĂšres âvertsâ.Signe de leur succĂšs, les ingĂ©nieurs qui sortent de formations spĂ©cialisĂ©es sont prisĂ©s des recruteurs. "On place tous nos Ă©tudiants dans une grande variĂ©tĂ© de structures, de la toute petite entreprise au grand groupe", prĂ©cise Alain Cornier, directeur dĂ©lĂ©guĂ© de l'Institut Arts et MĂ©tiers Paris Tech de ChambĂ©ry. Pour Alain Vassal, le constat est similaire les entreprises sont friandes de ces savoirs plus que la formation n'est pas le seul critĂšre pris en compte dans le recrutement d'ingĂ©nieurs rĂ©seau, soft skills, expĂ©riences Ă l'Ă©tranger, stages... Autant de critĂšres travaillĂ©s en Ă©cole et qui expliquent les chiffres particuliĂšrement positifs des ingĂ©nieurs un taux de chĂŽmage Ă 3,9% ; et une insertion profession de 79% deux mois aprĂšs la sortie d'Ă©cole. Une prise en compte qui irrigue les formations ingĂ©nieurDu reste, ces initiatives sont largement adoubĂ©es par la commission des titres dâingĂ©nieur CTI, chargĂ©e depuis 1934 dâĂ©valuer et dâaccrĂ©diter les formations dâingĂ©nieurs en France. Cette derniĂšre a dĂ©fini un volet âdĂ©veloppement durable et responsabilitĂ© sociĂ©taleâ dans ses rĂ©fĂ©rentiels de 2012 et de 2016 centralisant les recommandations globales de la CTI adressĂ©es aux Ă©coles dâ les Ă©coles sont libres de leurs programmes, la CTI a le pouvoir de leur retirer leur accrĂ©ditation Ă dĂ©livrer un titre dâingĂ©nieur diplĂŽmĂ©. Ses orientations sont donc Ă©coutĂ©es avec Laurent Mahieu, prĂ©sident de la CTI, il faut toutefois veiller âĂ la multiplication de formations labellisĂ©es dĂ©veloppement durableâ pour satisfaire les critĂšres de la CTIâ. De mĂȘme, il faut ĂȘtre certain que les formations Ă©voluent en fonction des besoins des Ă©tudiants, des recruteurs et des industries. âRĂ©trospectivement, peu dâĂ©tudiants voient lâintĂ©rĂȘt des cours de sensibilisation dans leur exercice professionnelâ, cite-t-il en exemple. LesrĂ©sidences Ă©tudiantes Tous les campus dâArts et MĂ©tiers disposent dâune rĂ©sidence Ă©tudiante. Chaque Ă©tudiant doit faire une demande auprĂšs du service scolaritĂ© du site dans lequel il va suivre sa formation. Le nombre de places disponibles est limitĂ©, mais la plupart des demandes sont gĂ©nĂ©ralement satisfaites.
FrancePrĂ©misse Ă proximitĂ© Maison des Ă©lĂšves ingĂ©nieurs Arts et MĂ©tiers Maison des Ă©lĂšves ingĂ©nieurs Arts et MĂ©tiersParis FrankreichLatitude Longitude la suite PrĂ©misse la plus proche đ toutes les catĂ©goriesdĂ©nommĂ©e"SociĂ©tĂ© des IngĂ©nieurs Arts et MĂ©tiers ParisTech" - regroupe environ 28 000 membres. Les ingĂ©nieurs Arts et MĂ©tiers qui ne cotisent pas sont "non sociĂ©taires", mais la solidaritĂ© (entraide, emploi, ) leur est accessible. Les membres Ă vie restent sociĂ©taires. 1.1.1 Le siĂšge social se trouve: MAISON DES ARTS & MĂTIERS
1Jacqueline Fontaine sâest donnĂ© pour objectif de retracer lâhistoire de la scolarisation des filles premiĂšre partie de lâouvrage et lâhistoire des Ăcoles dâArts et MĂ©tiers troisiĂšme partie en mettant lâaccent sur la rencontre improbable entre les publics et les institutions concernĂ©s de part et dâautre. Comme elle le montre en sâappuyant sur des travaux rĂ©alisĂ©s dans le champ de lâĂ©ducation et du genre, dont ses propres Ă©tudes [1], cette distance, ou cette incompatibilitĂ©, est Ă©troitement liĂ©e aux conceptions dominantes de lâactivitĂ© et du rĂŽle » des femmes dans la sociĂ©tĂ© aux xviiie et xixe siĂšcles elles doivent ĂȘtre formĂ©es pour devenir des maĂźtresses de maison accomplies si elles appartiennent aux classes aisĂ©es, des mĂ©nagĂšres ou des servantes si elles vivent dans les milieux populaires. Leur participation au travail rĂ©munĂ©rĂ© sâeffectue sur un mode subalterne dans les fabriques, puis dans les usines Ă mesure que lâindustrialisation progresse, ou bien elles sâoccupent de lâinstruction et des soins, tĂąches jugĂ©es congruentes avec leur nature »⊠2Impossible dâimaginer, en consĂ©quence, que les possibilitĂ©s dâascension sociale offertes aux adolescents garçons Ă travers la crĂ©ation dâune Ăcole des Arts et MĂ©tiers en 1780 et lâouverture dâautres centres, dans les annĂ©es 1840 et au dĂ©but du xxe siĂšcle, aient un impact sur les destins des filles dont lâorigine sociale est comparable. Les ouvriers instruits et habiles » et les chefs dâatelier capables de construire toutes sortes de fabrications » p. 131 sont nĂ©cessairement des hommes jusque dans les annĂ©es 1960 p. 167. La masculinitĂ© au sens du genre restera longtemps un attribut essentiel pour les techniciens et les ingĂ©nieurs gĂ©nĂ©ralistes deuxiĂšme partie, plus souvent issus des classes moyennes au fil des dĂ©cennies, Ă©tant donnĂ© le coĂ»t des Ă©tudes et lâĂ©lĂ©vation continue du niveau des connaissances. Les liens originels avec lâindustrie, lâimportance attachĂ©e aux compĂ©tences techniques et pratiques contribuent Ă faire des jeunes gens les bĂ©nĂ©ficiaires lĂ©gitimes de la formation dispensĂ©e et au-delĂ des positions professionnelles quâelle permet dâobtenir. 3Jacqueline Fontaine indique ici une piste Ă suivre pour un travail comparatif sur les diffĂ©rentes catĂ©gories dâingĂ©nieurs et la construction de la masculinitĂ© ou mĂȘme de la virilitĂ©. En effet, certains moyens mis en Ćuvre pour forger un habitus dâingĂ©nieur au masculin valent pour toutes les Ă©coles discipline quasi militaire, esprit de corps, rites dâinitiation, dâautres sont plus spĂ©cifiques Ă chacune en raison aussi des inĂ©galitĂ©s sociales de recrutement deuxiĂšme partie, chapitre V et des postes occupĂ©s ultĂ©rieurement. Il faudrait donc explorer davantage les phĂ©nomĂšnes dâarticulation entre les rapports de classe et de genre dans ces lieux divers. Lâauteure rappelle que lâĂcole Centrale accueille des Ă©tudiantes dĂšs 1918. Pourquoi le Centre de Lille des Arts et MĂ©tiers adopte-t-il la mĂȘme dĂ©marche cinquante ans plus tard ? Cette mutation sâinscrit-elle dans un mouvement dâensemble la mixitĂ© progresse dans lâenseignement Ă tous les niveaux ? Correspond-elle Ă des Ă©volutions du champ de la formation et de lâemploi des ingĂ©nieurs qui la rendent possible, voire indispensable ? Des pressions sont-elles exercĂ©es par les jeunes filles et leurs familles ? Pour rĂ©pondre Ă ces questions, Jacqueline Fontaine propose dâorienter la recherche selon deux directions prendre en compte lâhistoire rĂ©cente des Ă©coles Ă©tudiĂ©es, dont celle de Paris, rebaptisĂ©e Arts et MĂ©tiers Paris Tech en 2007 p. 156, interroger les Ă©lĂšves filles et garçons qui ont intĂ©grĂ© cette Ă©cole et les centres associĂ©s dans les annĂ©es 2000 ; de fait une enquĂȘte par questionnaire et entretiens a Ă©tĂ© menĂ©e avec lâaccord de la direction en 2011-2012 quatriĂšme partie de lâouvrage. 4Si les matĂ©riaux rĂ©unis mĂ©riteraient dâĂȘtre complĂ©tĂ©s pour ce qui est de lâĂ©volution des Ă©coles et des dĂ©bouchĂ©s professionnels dans les annĂ©es 1950-1980, il semble bien que la hausse continue du niveau dâĂ©tudes et lâimportance accrue de la sĂ©lection scolaire a favorisĂ©, lĂ comme ailleurs, lâentrĂ©e des filles. NĂ©anmoins, elles sont encore trĂšs minoritaires lâannĂ©e de lâenquĂȘte 12,6 % ; câest en dĂ©finitive cette prĂ©sence-absence qui interroge. On est Ă©tonnĂ© de constater que le taux de rĂ©ponse Ă lâenquĂȘte est relativement faible alors que le questionnaire Ă©tait transmis par internet accompagnĂ© dâune lettre explicative ; toutefois le taux de rĂ©ponse des filles est trĂšs supĂ©rieur Ă celui des garçons. Il serait intĂ©ressant de creuser les raisons pour lesquelles les garçons ont montrĂ© plus dâattentisme par rapport aux questions formulĂ©es. Leur prĂ©sence dans les Ăcoles dâArts et MĂ©tiers leur paraĂźt-elle si Ă©vidente quâil nây a pas lieu de commenter les cursus et les conditions dâenseignement ? Le sentiment inverse, soit la satisfaction dâavoir remportĂ© une victoire, pas toujours sans mal, a-t-il poussĂ© les filles Ă apporter leur tĂ©moignage ? Enfin, des Ă©lĂšves qui suivent une formation scientifique et technique seraient-ils peu disposĂ©s Ă dĂ©velopper des rĂ©ponses Ă des questions ouvertes ? 5Quoi quâil en soit, les rĂ©ponses disponibles fournissent dĂ©jĂ des Ă©lĂ©ments pour la rĂ©flexion. Il ne sâagit pas de restituer ici lâensemble des donnĂ©es rĂ©unies et des commentaires proposĂ©s, nous nous bornerons Ă souligner lâorigine sociale Ă©levĂ©e des rĂ©pondantes, la prĂ©sence de pĂšres ingĂ©nieurs dans les familles et de mĂšres cadres dont on ne connaĂźt pas toujours la spĂ©cialitĂ©. Les filles ont aussi souvent que les garçons choisi des filiĂšres dans lesquelles figurent en bonne place les sciences physiques, rĂ©putĂ©es masculines. La question peu explorĂ©e jusquâĂ maintenant, dâun effet maĂźtre ou maĂźtresse » [2] sur les aspirations et la rĂ©ussite des Ă©lĂšves, est Ă©galement Ă©voquĂ©e et les rĂ©ponses des enquĂȘtĂ©-e-s divergent⊠Il faut dire que les enseignantes sont minoritaires comme les Ă©lĂšves filles dans les classes prĂ©paratoires aux grandes Ă©coles cpge scientifiques et les Ă©coles dâingĂ©nieurs. 6En rĂ©sumĂ©, cette contribution Ă la comprĂ©hension des enjeux de la mixitĂ© dans des Ă©coles qui furent pendant deux siĂšcles une chasse gardĂ©e masculine, devrait inciter les chercheur-e-s Ă poursuivre, tout Ă la fois, lâanalyse des obstacles Ă la fĂ©minisation des filiĂšres scientifiques et, comme le dit lâauteure dans ce livre, des conditions qui doivent ĂȘtre rĂ©unies pour que des jeunes femmes osent pĂ©nĂ©trer dans un milieu dont les traditions ont Ă©tĂ© forgĂ©es par et pour des hommes. Celles, peu nombreuses, qui ont rĂ©ussi cet exploit, se disent satisfaites des rites et des activitĂ©s extra-scolaires⊠Mais lâattitude fair play » des garçons se maintiendrait-elle dans lâhypothĂšse oĂč les filles cesseraient dâĂȘtre des exceptions et reprĂ©senteraient une rĂ©elle concurrence ? Notes [1] Jacqueline Fontaine, 2010, La scolarisation et la formation professionnelle des filles au pays de Schneider 1844-1942, Paris, LâHarmattan. [2] Voir Pascal Bressoux, Les Ă©tudes sur les effets Ă©coles et les effets maĂźtres », Note de synthĂšse, Revue française de pĂ©dagogie n° 108, pp. 91-137 ces Ă©tudes postulent quâil existe des facteurs liĂ©s Ă un maĂźtre particulier qui entraĂźnent une meilleure acquisition des Ă©lĂšves qui ont eux-mĂȘmes des traits particuliers.En ligne
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