Ladernière fois Rien de mieux pour se débarrasser d'un souci que d… La critique de la rédaction : 4/10. Vraiment lourde cette comédie. Dès la première scène, la femme avoue à
Sonia Mekkiou, décédée dimanche 13 mai à Alger, est l’une des plus grandes comédiennes algériennes de ces cinquante dernières années. Elle a marqué les planches, la télévision et le grand écran avec une centaine de travaux artistiques depuis la fin des années 1960. Sakina Mekkiou, plus connue sous le nom de scène de Sonia, native d’El Milia, à Jijel, a entamé sa carrière à dix-sept ans, malgré les résistances de son entourage familial. Elle a été parmi les premières étudiantes à entrer à l’INADC Institut national des arts dramatique et chorégraphique, crée en juin 1970, et devenu, depuis 2004, Institut supérieur des métiers des arts de spectacle et de l’audiovisuel ISMAS. Entre 2001 et 2004, Sonia a dirigé avec brio l’INADC. En 2009, elle est désignée, par Khalida Toumi, alors ministre de la Culture, directrice du Théâtre régional de Skikda, puis de Annaba où elle prend sa retraite en 2015. Je gère le théâtre comme une artiste, pas comme une administratrice », disait-elle souvent. Elle est la première femme à diriger un théâtre en Algérie. Sonia lors de l’ouverture du Festival du théâtre féminin de Annaba Apprentissage de la mise en scène Durant les années 1970, 1980 et 1990, Sonia a travaillé, au niveau du Théâtre de Annaba puis du Théâtre national algérien TNA à Alger, en tant que comédienne, tous les grands noms du Théâtre algérien et maghrébin. J’ai eu la chance de travailler avec Mustapha Kateb, El Hachemi Noureddine, Abdelkader Alloula, Tayeb Sediki dramaturge marocain, Sid Ahmed Agoumi, Ziani Chérif Ayad, M’hamed Benguettaf… En France, j’ai travaillé avec Jean Yves Lazennec cofondateur du Théâtre universitaire de Paris X, Hervé Loichemol directeur de la Comédie de Genève et Jean Louis Hourdin. Avec tous ces hommes de théâtre, j’ai appris beaucoup de choses sur la mise en scène et sur la direction d’acteur surtout que chacun avait ses propres techniques et sa propre méthode. Ma première mise en scène était une dramatique pour la télévision, el doub » l’ours, d’après l’œuvre de Tchékhov. C’était après 1988. Dalila Hlilou, Sid Ahmed Agoumi et Noureddine Berrane étaient distribués dans cette dramatique. Et ma première mise en scène pour le théâtre était la pièce Hadria Ou El Hawas » avec Mustapha Ayed dans les années 1990 », nous a confié Sonia, en marge d’une précédente édition du Festival d’Annaba du théâtre féminin. Sonia avec les lauréat du Festival national du théâtre féminin de Annaba Elle a enchaîné la mise en scène, avec des pièces telles que Layllat Talaq » Nuit de divorce, Bla zaaf » sans nervosité et Loughat el oumahat » La langue des mères. Avec le théâtre régional de Batna, elle a mis en scène la pièce Yughurta », en 2007, et avec celui de Skikda, Amama Aswar el madina » devant les remparts de la ville, en 2010, une adaptation d’une œuvre de l’allemand Tankred Dorst, ainsi que Bellahrach », en 2011, d’après un texte de Salim Hilali. Scène de la pièce Bellahrach de Sonia Dans ces trois pièces, Sonia s’est inspirée de l’antiquité et de l’Histoire médiane algériennes pour explorer des thématiques liées à la résistance, à la liberté et à la quête d’émancipation. La dénonciation de l’oppression y est toujours présente, d’une manière ou d’une autre. Scène de la pièce Bellahrach de Sonia Quand Sonia revisite Fatma » En mars 2005, Sonia a pris le pari de mettre en scène Fatma », le premier monodrame féminin du théâtre en Algérie où elle a interprété le rôle de la femme de ménage algéroise en quête de liberté, au début des années 1990, sous la direction de Ziani Chérif Ayad, d’après un texte dense de M’Hamed Benguettaf. Dans la nouvelle version de Fatma », elle a confié le rôle à Nesrine Belhadj, une des valeurs sûres du théâtre algérien. Avec Ziani Chérif Ayad, M’Hamed Benguettaf et Azzeddine Medjoubi, Sonia cofonde, en 1989, Masrah Al Qâla’a le théâtre de la Citadelle, l’une des premières compagnies indépendantes en Algérie, après avoir quitté le TNA qu’elle a rejoint en 1977. Cette dynamique d’émancipation sera brisée par les violences des années 1990 et l’assassinat d’Abdelkader Alloula 1994 et d’Azzedine Medjoubi 1995, deux monstres consacrés du 4e art algérien. Avec Masrah Al Qâla’a, Sonia interprète des pièces aux côtés de Benguettaf et Medjoubi comme El Ayta ». Alloula était un repère pour moi » Durant les années 1980, elle s’est illustrée dans deux pièces-phare du répertoire dramatique algérien, Galou laarab galou » 1983 et Les Martyrs reviennent cette semaine », d’après un texte de Tahar Ouettar et une mise en scène de Ziani Chérif Ayad. Sonia a travaillé avec Alloula dans les années 1980. Alloula était un repère pour moi. J’ai appris à le connaître avec la pièce Les bas-fonds » Al Dahaliz en 1985. Nous sommes devenus des amis après. J’insistais pour avoir la critique d’Alloula à chaque fois que je jouais dans une pièce. Sans cette critique, je considérais que mon travail n’était pas fini. Alloula, en homme généreux, se déplaçait avec ses amis pour assister à nos spectacles. Je me souviens qu’il était venu d’Oran assister à la pièce Galou l’âarab Galou » à Sidi Bel Abbès. La dernière fois que j’ai vu Alloula vivant, c’était à Skikda en 1993. Je participais avec Sid Ahmed Agoumi à la pièce L’amour et après » de Masrah El Qalâa. Il était venu avec Ghaouti Azri et Mohamed Haïmour nous soutenir à l’hôtel. Nous étions restés jusque tard dans la nuit à discuter autour de la pièce. Alloula m’avait beaucoup soutenue lorsque j’ai commencé à travailler avec Rachid Boudjedra sur l’adaptation du Journal d’une femme insomniaque ». J’avais beaucoup d’appréhensions par rapport à l’adaptation de ce roman, un texte très osé. Il fallait pour moi trouver la manière subtile de dénoncer des choses sans heurter le spectateur qui est dans la salle assis à côté de sa fille. Alloula m’avait aidée à atteindre cet objectif. Je peux parler pendant des heures sur Alloula, un homme qui donnait énormément dans sa vie, dans son travail. J’ai appris beaucoup de choses avec lui. C’était un homme ordonné et structuré. Pour Les bas-fonds », il avait tracé une mise en scène avec méthode. Alloula décortiquait chaque personnage humainement, psychologiquement. Il nous amenait vers le rôle sans nous rendre compte », a confié Sonia, en mars 2014, dans une interview au journal El Watan. Je n’ai jamais été victime de la censure » Cela fait plus que quarante ans que je fais du théâtre dans ce pays. Je suis passée par plusieurs étapes traversées par le pays. J’ai connu l’époque du théâtre étatique sous le régime du parti unique. J’ai connu aussi la période des coopératives indépendantes après le début du pluralisme politique. Et j’ai dirigé des théâtres régionaux financés par l’État. Franchement, je n’ai jamais été victime de la censure au théâtre. C’est un témoignage. Nous avons joué dans des pièces durant la période du parti unique. Lorsque nous avons joué Les Martyrs reviennent cette semaine » au Festival du théâtre arabe à Damas, après les événements d’octobre 1988 en Algérie, le public nous a posé des questions sur la situation du pays. M’Hamed Benguettaf, qui a adapté et joué dans la pièce, a déclaré que les gens sont sortis dans la rue pour demander plus de liberté et de démocratique. Un spectateur syrien a répondu en disant On ne peut pas parler de l’absence de démocratie, dans pays dont le gouvernement finance une pièce comme la vôtre ». Cela concerne le théâtre, mais ailleurs, le problème de la liberté d’expression se posait », a souligné Sonia dans la même déclaration qu’elle nous a faite à Annaba. Elle a rappelé le risque qu’elle avait pris en montant Journal d’une femme insomniaque », d’après le roman de Rachid Boudjedra durant les années 1990. Une pièce audacieuse sur la situation de la femme au sein de la société algérienne avec une exploration de l’univers intime féminin. J’ai mis en scène Hata ltem », durant les années du terrorisme. Dans cette pièce, nous critiquions les femmes en djelbab et les barbus qui vendent la lingerie fine. Le sujet de Hadria ou el hawas » était également sensible. Nous ne faisions pas dans le théâtre commercial, même si aujourd’hui ce genre de théâtre a toute sa place. Nous faisions du théâtre engagé pour dire des choses et dénoncer certaines autres », a confié Sonia. Le parcours brillant du théâtre algérien Durant la même période, Sonia a participé à la pièce Les généraux » El Ajouad, d’après l’œuvre d’Abdelkader Alloula, mise en scène par Jean-Yves Lazennec. La pièce, présentée au festival d’Avignon en France, en 1995, était également interprétée par Sid Ahmed Agoumi et Mohamed Haimour. Récemment, Sonia, avant qu’elle ne soit freinée par la maladie, voulait remonter sur scène et avait envie d’adapter aux planches Syngué Sabour » Pierre de patience, célèbre roman de l’afghan Atik Rahimi. Le texte a, depuis, été adapté aux planches par Mourad Senouci, actuel directeur du Théâtre régional d’Oran TRO. Elle a justement collaboré avec Mourad Senouci pour monter la pièce Imraa min waraq » Une femme en papier, d’après un roman de Waciny Laredj, en 2012. La même année, elle a mis en scène Djamilate » Belles, d’après un texte de Najet Taibouni, sur les femmes algériennes qui ont combattu le colonialisme français. En 2014, le théâtre régional d’Annaba a monté en tamazight la pièce Les mimosas d’Algérie », mise en scène par Djamel Marir, d’après un texte du français Richard Demarcy. Sonia avec Tounes Ait Ali, Mourad Senouci et la soeur de Azzeddine Medjoubi à Annaba C’est pour moi, un rêve qui s’est réalisé. Le théâtre peut contribuer à promouvoir une langue et à la faire partager », a-t-elle dit. Elle voulait tellement mettre en valeur et en avant le la production des femmes au théâtre qu’elle a lancé, en 2012, le Festival national du théâtre féminin. Elle avait veillé à rendre hommage aux femmes qui ont marqué le parcours brillant du quatrième art algérien comme la scénographe Lilliane El Hachemi et les actrices Keltoum, Fatiha Berber et Yasmina Douar depuis les années 1950. Ce festival s’est arrêté en 2015 en raison de restrictions budgétaires au ministère de la Culture. Reprendre ce festival serait peut-être une belle manière de rendre hommage à Sonia Mekkiou, la reine incontestée du théâtre algérien. Sonia avec l’homme de théâtre Omar Fetmouche lors d’un débat à Annaba
Soiréethéâtre à ne pas rater jeudi 28 mars, à 20 h, au Nec de Marly. Aux côtés de Zinedine Soualem, Virginie Hocq campe une empoisonneuse hilarante dans la
Cet article date de plus de neuf ans. Roland Giraud et Maaike Jansen, comédiens et époux à la ville, sont réunis sur la scène du Théâtre du Palais Royal à Paris dans "Le Technicien", une pièce écrite spécialement pour eux par Eric Assous et mise en scène par Jean-Luc Moreau. Article rédigé par Publié le 01/08/2013 1818 Temps de lecture 1 min. C'est Roland Giraud qui a proposé à Eric Assous l'idée de cette pièce. Celle d'une épouse abandonnée 25 ans auparavant par son mari pour une femme plus jeune, et qui règle ses comptes quand son ex vient lui demander de l'aide. Pour le couple Jansen/Giraud, c'est l'occasion de se retrouver au théâtre dans deux rôles principaux et pour une comédie. La dernière fois, c'était pour "Alarmes, etc", il y a dix ans. Entre-temps, ils ont dû affronter la tragédie de la disparition de leur fille Géraldine, en a fallu deux ans pour que "Le technicien" soit enfin programmé. Roland Giraud était pris sur "Bonté divine", une pièce sur la religion avec laquelle il est toujours en tournée. Quant à Eric Assous, il a l'habitude d'écrire pour les membres d'une même famille. Il est en effet l'auteur de "Secret de famille", qui a réuni sur scène Michel Sardou et son fils > A voir aussi sur Culturebox - " La rentrée théâtrale 2010 à Paris "- " Julie Depardieu est Nono au théâtre de la Madeleine "Théatre du Palais Royal Prolongez votre lecture autour de ce sujet tout l'univers Spectacles Vu d'Europe Franceinfo sélectionne chaque jour des contenus issus de médias audiovisuels publics européens, membres de l’Eurovision. Ces contenus sont publiés en anglais ou en français.
Maisvers la fin il y a eu des danses et ça c'était le moment que j'ai le plus aimé. Il y avait des danses turques et espagnoles. C'était plutôt drôle. Le moment que j'ai beaucoup aimé c'est quand la fille et le Turc se marient et que tout le monde était amoureux dans la pièce ! Nassima » « J'ai adoré cette pièce. J'ai trouvé ça
Une journée pour découvrir et apprécier Ÿ˜‰ Cette journée toute particulière existe depuis 1961 grâce à l’Institut Internationale du Théâtre. Elle célèbre et partage les valeurs et l’importance du théâtre sous toutes ses formes. Chaque année une personnalité porte un message qui sera traduit en 50 langues pour être partagé et diffusé à travers le monde. C’est la journée idéale pour se faire un petit plaisir aller voir une pièce de théâtre, se remémorer les cours de théâtre de notre jeunesse ou encore pour faire découvrir cet univers aux enfants Ÿ˜Š tous Quelle est la dernière pièce de théâtre que vous êtes allés voir ?
turboUn spectacle mené tambour battant, un duo de comédiens au top, une écriture rebondissante (et même un peu de philosophie, pour quand on a le temps, entre deux éclats de rire). Très bon moment. C’était quand la dernière fois!
Résumé du spectacle Patrick est addict… au travail Il passe plus de temps dans ses dossiers qu’avec sa femme et son fils. Suite à un malaise, il se retrouve interné en maison de repos. Coupé du monde extérieur, il n’a ni dossiers, ni ordinateur, ni portable… Il doit faire face à une psychologue au caractère bien trempé, qui n’a pas la langue dans sa poche. Patrick doit lui prouver qu’il est désintoxiqué » du travail, sinon il ne pourra pas sortir et retrouver sa famille… et son job ! Pour la première fois de sa vie il ne doit RIEN faire ! Ça tombe mal il est en passe de réaliser le plus gros coup de sa carrière ! Ce séjour forcé a tout l’air de vacances obligatoires… Avec Bruno BACHOT et Élodie BOULEAU La nouvelle pièce de l’auteur du COACH, du BON PLAN, et de TALONS AIGUILLES & CRAMPONS Informations complémentaires Réservation indispensable quelques jours avant, merci de respecter l'heure d'arrivée que nous vous communiquons lors de la réservation. Arrivée fixée lors de la réservation entre 19h et 20h Les Dîners-Spectacles sont à 50€ sauf mention n'acceptons pas les chèques restaurant les soirs de dîners-spectacles Attention, les places réglées pour une date précise ne sont ni échangeables ni remboursables ... sauf cas de force majeur!Le prochains spectacles
Unepièce de théâtre citoyenne : « Vive la Liberté d’expression ! ». Les élèves du PEPS Théâtre du collège Henri Dunant ont réalisé une petite pièce évoquant l’attentat de janvier dernier au journal Charlie Hebdo à Paris. Après les attentats du mois de janvier, les élèves du PEPS Théâtre ont souhaité rendre hommage aux
Nous avons étudié quelques exemples des pièces de théâtre existentialistes et absurdes. Mais pour ce post, je voudrais parler de théâtre existentialiste. L'existentialisme a été fonde par Jean-Paul Sartre, une philosophe français qui était populaire les années après la libération de la France et la fin de la deuxième guerre mondiale. L'existentialisme est l’idée qu'un est responsable pour son propre actions; notre existence n'est pas déterminé par le Dieu ou le Destin. Jean-Paul Sartre Sartre 1905-1980 était un écrivain, une activiste et un critique littéraire. Pour le classe, nous avons vu un documentaire pour achever un compréhension de sa vie, mais en plus, nous avons lu son pièce de théâtre, Huis Clos. Ce texte était amusant dans un façon d’appréciation sans moralité-je peux rire quand je pense à moi même comme un individu séparée et innocent de leurs crimes. J’étais un peu protégée par mon propre malentendu de l'histoire. Ce n’était pas jusqu'au conversation en classe que j'ai compris totalement les crimes, les deuxièmes histoires des personnages. J’étais choquée par leur indifférence vers leurs crimes, qu'ils ont parlé si casuellement d'en. Il n'y avait jamais des moments de remords et les gens, en particulière Garcin et Estelle, ont essayé d’éviter la culpabilité. Inès est un peu plus honnête, mais a mon avis, c'est afin qu'elle puisse critiquer les autres, Elle ne donne jamais les munitions aux autres pour se blesser. La grande ironie de ce texte est que tous les gens, spécifiquement Garcin, ont essayé d'ouvrier la porte, mais il ne réussit pas. A la fin quand la porte est ouvert, il et Estelle n'ont pas la courage de quitter la chambre ils ont peur de regarder en face d'une autre personne qui peut faire de jugement sur leurs caractères. Pour moi, c'est un type de damnation auto-infligé. Ils ont fait des mauvaises choses, des péchés et encore ils ont choisi l'enfer pour un deuxième fois. C'est une conception de la peur sans courage, sans la capacité de se lever l'au-dessus. Il y a un autre point dans le livre qui me rend étonné. Inès est une lesbienne ouvert. Elle ne cache pas sa nature et pendant l'action du texte, elle essaye de séduire Estelle. J’étais sur l'impression que la homosexualité n’était pas accepté par la société générale. Quand j'ai fait du recherche à Colette, il y avait un moment quand elle et une autre femme, Missy, ont partagé une bise passionnante dans une représentation la Rêve d’Égypte qui a inspiré une émeute. Mais j'ai un meilleur compréhension du temps après la deuxième guerre mondiale a la France et l'effet de Sartre sur le public. C’était un temps de liberté pour toute la France et il y avait un air de rébellion, de jeter tous les anciennes lois au dehors de la fenêtre. Inès et Estelle Nous avons aussi lu l’Hôte, par Albert Camus 1913-1960. Camus était un écrivain, un philosophe, une journaliste et un pair de Sartre. Pendant la guerre, il était un part de la Résistance et il a parlee pour la reste de son vie contre les idées du totalitarisme. Il a gagne le prix Nobel français et a écrit des essaies, des romans, des petites histoire et des travaux autobiographique. Il est mort tragiquement dans une accident de voiture quand il avait quarante-six. C'est lui qu'il a lance le début du théâtre absurde, mais je trouve l’Hôte d’être une combinaison des idées d’absurdité et d'existentialisme. Albert Camus La personnage principal dans l’Hôte est Daru, un professeur dans l’Algérie quand elle était un province de la France. Daru est une victime de circonstance. Il décide son propre titre et emploi, alors l’on ne peut pas trouver la faute. Il essaye d’aider les gens dans le village et fournit l’éducation française bien sûr, mais un type de connaissance importante pour la situation entre l’Algérie et la France. Mais il rejette tous les autres soucis dans la vie. Quand Balducci arrive et lui donne la tâche d’accompagner l’Arabe chez les autorités, il dit non, ce n’est pas ma responsabilité. » Il a raison mais Balducci laisse l’Arabe dans les mains de Daru pour prendre des décisions, donc le destin de l’Arabe devient sa responsabilité. Il a du respect pour l’Arabe comme un humain, mais il a peur aussi parce qu’il sait que l’Arabe est accusé du meurtre. Il offre de petites choses comme un hôte des repas, du thé, un lit, etc., mais il porte aussi un fusil pour sa protection. Il y a une situation polie mais la politesse est presque de fausseté parce que les deux hommes partagent les suspicions et le stress parce qu’ils sont tous les deux hôte mais aussi criminel et garde chacun. Encore, Daru espère que toujours s’il offre l’opportunité d’échapper, l’Arabe la prendra. C’est la dernière tentative passive de Dura pour éviter la tâche. Quand le temps arrive, Daru marche avec l’Arabe, mais quand ils arrivent à un point spécifique dans le chemin, Daru s’arrête. Il donne l’argent et les aliments à l’Arabe et il indique les deux chemins pour aller à Tinguit et au désert, à la liberté. Il offre le choix. C’est un moment important parce qu’il donne l’opportunité à l’Arabe de poursuivre la justice pour son crime. C’est une considération énorme de la part du Français vers un arabe mais aussi encore une autre option d’éviter la vraie responsabilité de prendre le criminel au Tinguit. Daru a des motivations mélangés mais honorables dans leur expression. L’absurdité et qu’il sera puni pour sa considération. "Albert Camus and the Cat Detective" par Clare Welsh
Cest la dernière de la pièce “Cahin Caha” de Serge Valletti ce samedi 23 avril 2022 à 20h30. L’œuvre est au programme du Théâtre du Pavé depuis mercredi 20 avril. Ce samedi 23 avril marque la dernière représentation de l’œuvre au sein du Théâtre du Pavé. (CC BY-SA Mohammad Jangda / Flickr) « Cahin Caha sont les deux protagonistes d’une histoire dont ils
La rédaction de Charlie Hebdo a fait part lundi de son "effarement" en découvrant la "violence" à son égard des paroles d'une chanson de la BO du film "La Marche", sur les écrans mercredi, qui dans un couplet "réclame un autodafé contre ces chiens" du journal satirique. Samson Article Abonné Gérald Dumont est plutôt du genre discret. L'auteur et metteur en scène n'est d'ailleurs pas à l'initiative de l'appel d'enseignants et d'artistes, porté par les universitaires Isabelle Barbéris et Samuel Mayol, à faire jouer la Lettre aux escrocs de l'islamophobie qui font le jeu des racistes, texte posthumede Charb, dans les facultés. "Je n'ai pas trop maîtrisé, mais je suis au courant, c'est très bien !" réagit-il spontanément. Cette lecture, en revanche, c'est lui qui en a eu l'idée, et qui la donne depuis début 2016 dans des établissements scolaires ou des théâtres. Plus de 100 dates, déjà, dont une programmée dans un lycée des Hauts-de-France en mai prochain, mais très peu dans des universités, souvent rétives à l'idée d'accueillir un spectacle estampillé Charlie Hebdo. Ce que le comédien de 54 ans, habitant du Nord, regrette vivement, lui qui n'aime rien tant que le débat qui suit la pièce, surtout s'il pose les sujets qui fâchent. Il s'en explique auprès de L'Express. L'EXPRESS Pourquoi avoir fait de la Lettre aux escrocs de l'islamophobie..., le dernier livre de Charb, une pièce de théâtre ? Gérald Dumont J'ai toujours été un électeur de la gauche, mais jamais un militant, jusqu'au 7 janvier 2015. Et là, subitement, je change. Je me dis qu'il faut défendre la laïcité, l'esprit Charlie. Je connaissais un peu quelques-uns de ses membres et j'adore l'hebdo, même s'il me gonfle parfois et que ce n'est pas ma bible. Quelques mois plus tard, je lis la Lettre, et je me dis tout de suite qu'il faut la jouer. Il y a tout dedans, de façon très claire, l'humour, le droit à la critique de toutes les religions, au blasphème et le refus des discriminations, à rebours de tout ce qu'on entend parfois sur Charlie Hebdo, qui serait raciste, islamophobe, de droite. C'est le seul livre de Charb qui n'est pas illustré, donc j'imagine très vite d'enrichir la lecture de vidéos, de musique, de projection de dessins, sur une heure. L'idée, c'est que les jeunes écoutent un texte intelligent tout en s'amusant. Ça a tout de suite très bien marché. Offre limitée. 2 mois pour 1€ sans engagement Soutenez-vous aujourd'hui l'appel que publie L'Express pour faire jouer votre pièce dans les universités ? Oui, parce qu'on a eu trop peu l'occasion de le faire. C'est une frustration, car l'université, c'est, pour moi, le lieu ultime du débat, où on peut s'adresser aux jeunes, qui sont quand même les électeurs de demain. Dès qu'une fac m'appelle, j'arrive en courant. Ce n'est pas faute d'avoir tenté, puis relancé les établissements. La plupart du temps, on n'a pas eu de réponse. Et, quand on a joué, ça s'est passé étrangement. A Paris VII [Diderot], il y a eu une mobilisation de SUD éducation et de l'Unef contre la tenue de la lecture, ils menaçaient d'occuper la salle. Ils ont manifesté devant, avec des slogans comme "le racisme et l'islamophobie, on en a marre". A Lille II, le président de la faculté a annulé la représentation deux semaines avant, pour des raisons de sécurité, a-t-il dit. A l'université de Valenciennes, l'administration n'a fait aucune publicité à la pièce, on n'a jamais su pourquoi. Il y avait plus de CRS devant la salle que de personnes dedans. On joue toujours sous protection policière, mais, ailleurs, ça s'est toujours bien passé. Vous tenez à invariablement faire suivre votre lecture d'un échange avec le public. Pour quelle raison ? C'est le moment le plus intéressant ! C'est aussi celui où j'ai besoin de reprendre mon souffle, c'est donc Marika Bret, une des dirigeantes de Charlie Hebdo, qui lance la discussion. Les gens donnent leur vision de la pièce, de Charb, de la laïcité ou de l'art, c'est passionnant et très variable. Surtout quand c'est des jeunes. Souvent, ils voient que Charlie, ce n'est pas ce qu'on en dit, notamment sur les réseaux sociaux. Arrive-t-il que le débat se passe mal ? C'est arrivé une fois, dans un collège, où les élèves étaient très remontés, convaincus que la critique des religions, c'était du racisme. Mais, la plupart du temps, ça se passe très bien. Dans les établissements scolaires, des jeunes sont venus nous voir à la fin pour nous dire que le spectacle les avait fait évoluer. Quel accueil avez-vous reçu de la part des organisations de gauche ? Quand je me suis lancé là-dedans, j'ignorais un peu que l'esprit Charlie était si contesté à gauche, que le spectacle serait si clivant. Je n'avais pas mesuré que, pour certains, j'étais devenu de droite ! Alors c'est vrai qu'à la LDH ou au Mrap on a parfois refusé de nous soutenir. Il y a un débat au sein de ces organisations, qui ont l'air un peu perdues. Il faut qu'elles règlent leurs problèmes. Les plus lus OpinionsEditoAnne RosencherChroniquePar Gérald BronnerLa chronique d'Aurélien SaussayPar Aurélien Saussay, chercheur à la London School of Economics, économiste de l'environnement spécialiste des questions de transition énergétiqueChroniqueAbnousse Shalmani
LaTour-de-Trême, salle CO2, vendredi 28 mars, «Ça va être bourré d’émotion» A la veille de Rideau!, ressentez-vous le même trac que pour une autre pièce ou une tension supplémentaire du fait que ce soit la dernière que vous montez au Théâtre des Osses? Véronique Mermoud: Ça va être bourré d
Actu TV, Paris Première Ce samedi à 20h50, Paris Première diffusera en direct "C'était quand la dernière fois ?", une pièce de théâtre d'Emmanuel Robert-Espalieu, mise en scène par Johanna Boyé et avec Virginie Hocq et Zinedine Soualem. Quoi de plus efficace pour régler un problème que de s'en débarrasser de manière définitive » ?! Un soir, comme tous les soirs de sa petite vie bien ordonnée, une femme va commettre le pire l'indicible et inavouable acte d'empoisonner sonmari. Virginie Hocq et Zinedine Soualem forment un couple diaboliquement drôle. Toute leur folie, leur inventivité et leur virtuosité d’acteur, mises au service de la comédie, donnent vie à deux personnages qui brillent par leurs failles, leurs fragilités, leurs maladresses ; à la fois drôles et attachants. Une intrigue simple, un couple au bord du gouffre, une solution directe l’empoisonnement ! C’était quand la dernière fois ? met en scène avec légèreté la monstruosité de l’acte commis une comédie à mourir… de rire ! Partager cet article Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous
Théâtre: Théâtre Tristan Bernard – 64, rue du rocher 75008 Paris. Locations : 01 45 22 08 40 et FNAC – TICKETNET et points de vente habituels . Tarif : Mardi – Jeudi – Vendredi – Samedi : de 10€ à 38€ - Mercredi : de 10€ à 32€ Moins de 26 ans : 10 € Durée : 1h30
La Manivelle Théâtre dimanche 16 octobre 2022 à 17h Bled, Petit Poucet moderne, est le dernier né d’une famille de sept enfants. Il est celui dont le nom, donné à la mémoire du grand-père venu d’ailleurs, porte tout à la fois la marque de l’enracinement et du déracinement. C’est donc à lui, le plus jeune, que revient la responsabilité de trouver un nouveau foyer quand la famille se fait expulser. Il doit partir sur les routes. La tâche semble tout d’abord le dépasser. Le paysage est hostile et se peuple d’êtres ambigus. Mais sans abri, sur les chemins, loin de ses frères, Bled est-il vraiment seul ? L’exil sonne l’heure des rencontres avec Ti-Coeur et Shed, et exige d’apprendre à se connaître soi-même. Un texte de Daniel Danis. Mise en scène Florence Bisiaux. Conception collective Antonin Vanneuville, Pierre-Yves Aplincourt, François Frémy, François Gérard. Interprétation texte et musique live Antonin Vanneuville. La pièce Bled de Daniel Danis est éditée et représentée par l’Arche, éditeur et agence théâtrale. Création soutenue par le Ministère de la Culture/Drac Hauts-de-France, la Région Hauts-de-France, le Département du Nord, le Département du Pas-de-Calais, la Ville de Wasquehal, la Ville de Croix, la Métropole Européenne de Lille. Durée 50 min Lieu CENTRE CULTUREL JACQUES BREL 137, Rue Jean-Baptiste Delescluse - Croix Tarifs 9€ / 7€
Cétait quand la dernière fois ? - Théâtre Tristan Bernard Europe France Île-de-France Paris Paris - Activités Théâtre Tristan Bernard Théâtre Tristan Bernard Est-ce votre établissement? 37 avis Nº 581 sur 3 386 choses à voir/à faire à Paris Concerts et spectacles, Théâtres 64 rue du Rocher, 75008 Paris, France Enregistrer Points forts des avis
Vous n’aurez pas le dernier mot Standard Vous pensez que les grands hommes ou les grandes plumes ont toujours le bon mot ? Détrompez-vous ! Dans un seul en scène drôle, littéraire et historique au ton décalé, Stéphane Bern nous emmène dans les coulisses de l’histoire, à la découverte des derniers mots des grands hommes et histoire nous ne retenons souvent que le début, les meilleurs instants. Comme dit Clémenceau le meilleur moment dans l’amour, c’est quand on monte l’escalier ». Des années que Stéphane Bern nous fait rêver avec de somptueux palais, des Rois et Reines dans leur splendeur… Mais c’en est fini, il va nous en révéler enfin le plus intéressant, les derniers mots ! Et ceux-ci sont grandioses parfois, ridicules, souvent ! Les vrais secrets de l’histoire, ce sont eux, ceux qui révèlent ce que toute une vie on a voulu monologue joyeux et profond est une réflexion sur nos propres derniers mots, ce que nous laissons derrière nous. Avec de la poésie, de la passion, et un peu de mauvais esprit, il va à rebours de notre époque, obsédée de jeunesse, de débuts, d' spectacle qui vous fera préférer dire bonsoir plutôt que Stéphane BERNPièce de Diane DUCRETMise en scène Jérémie LIPPMANNScénographie Jacques GABELCostumes Colombe LAURIOT PREVOSTLumières Jean-Pascal PRACHTAssistante à la mise en scène Alexandra LUCIANIDu 14 octobre au 16 décembre 2019SoiréeLundi 20hMatinéeDimanche 18hReprésentation supplémentaireSamedi 14 décembre à 18hDurée du spectacle 1h05 Programmation variable en fonction des semaines. Veuillez consulter les dates disponibles en cliquant sur le bouton "réserver en ligne"Tarifsau guichet1° catégorie 46 €2° catégorie 36 €3° catégorie 20 €Réservations par téléphone ou par internet + 2€ de fraisLe monde se divise en deux catégories de gens, ceux qui, sitôt un livre en main, en lisent les premiers mots, et ceux qui s’empressent d’en lire les derniers ! Je fais partie deceux-là. Depuis toujours, c’est plus fort que moi, je ne peux m’empêcher de toujours lire les derniers mots d’un livre, ou de vouloir connaitre les derniers mots d’un grand auteur, d’un grand homme, la dernière scène d’un pareil en amour, ce que je trouve intéressant, ce n’est pas les premiers mots échangés, mais bien les derniers, ceux qui seront chargés du sens de l’amour et de l’au revoir. Ceux qui aiment les derniers mots ont le sens dramatique, celui de la tragédie, ils aiment le bouquet final lors des feux d’artifices, lorsqu’on ressent un frisson d’excitation. Comme si le final, c’était ce que l’on ne peut se permettre de rater, ce qui reste en mémoire pour toujours. Pompidou le dit très bien, il ne suffit pas d’être un grand homme, il faut l’être au bon moment ».Je m’étais toujours imaginée que les grandes stars, les grands auteurs ou politiques sont impeccables jusqu’au bout. Je les imaginais prononçant des derniers mots inspirés pour guider les vivants leur succédant, les inspirer de leur courage, de leur abnégation…. Les mythes doivent l’être jusqu’à leur bouquet final !Et puis un jour, j’ai découvert un des derniers mots d’un des plus grands mythes de notre belle littérature, qui m’avait bassiné durant tout le lycée avec son Éducation Sentimentale, qu’on nous forçait à étudier, parce qu’il était un monument des Lettres, Gustave Flaubert Cette pute de Bovary va vivre et moi je vais mourir comme un chien ». J’ai éclaté de rire en lisant cela !Flaubert n’était donc pas un monument », mais un homme ! Ainsi m’est venue l’idée de ce spectacle décomplexer notre rapport aux grands hommes, aux mythes que l’on a fait immortels, afin de se rappeler, avec humour, que leurs derniers mots ne valent pas forcément mieux que les nôtres. Peut-être simplement parce que quand on aime la vie, on n’a pas envie de lui dire au revoir…En l’écrivant, j’ai eu la sensation que l’Histoire et la Littérature ne sont pas si lointaines de nous qu’on le pense parfois, bien moins excluant que la manière dont on nous les enseigne. Et qu’en effet, par leurs derniers mots ratés, ces Grands sont drôlement inspirant… En nous rappelant que même les Grands ont droit à l’échec, à l’ une grande fan de Secrets d’Histoire, émission à laquelle j’ai aussi participé plusieurs fois bien sûr, j’ai voulu révéler sur scène celui qui, à force de parler des Grands, en est devenu un Stéphane Bern. J’ai tout de suite pensé à lui ! Montrer surtout son côté original, sa pointe de folie décalée ! Depuis toujours, regardant ses émissions, j’avais envie que Stéphane Bern se décoiffe, montre son côté rock’n’roll et nous parle de la face plus sombre de ceux qui nous font rêver !Diane DUCRET - autriceL’envie me taraudait depuis longtemps de remonter sur les planches du théâtre. Il est vrai que ma première expérience, en 2004-2005, avec la pièce de Jean-Marie Chevret, Numéro Complémentaire aux côtés, notamment, de Francis Perrin et Isabelle de Botton m’avait convaincu que j’aimais jouer la comédie et que le public me jugeait plutôt légitime dans cet exercice. Les contraintes de mes activités audiovisuelles m’interdisaient tout retour au théâtre jusqu’à ce tournage de Meurtres en Lorraine pour France 3, achevant d’instiller en moi ce désir urgent de faire l’acteur ». Restait encore à trouver un texte assez puissant et drôle, une sorte de costume taillé sur mesure, qui ne me laissât pas d’autre choix que de le jouer et de l’ reçu des dizaines de comédies, mais rien ne me satisfaisait pleinement, jusqu’au jour où Diane Ducret m’a envoyé son texte, à la fois profond et léger, s’intéressant aux personnages de notre Histoire et de la Littérature pour s’attacher à leur sortie de scène, à leurs derniers mots. Immédiatement j’ai été séduit par le propos car rien n’est plus humain que la fin des figures illustres et tutélaires. Derrière l’emphase d’une confession voltairienne – je meurs en adorant Dieu, en aimant mes amis, en ne haïssant pas mes ennemis, et en détestant la superstition » – ses dernières paroles sont bien plus triviales et nous ressemblent davantage. Ou encore Anton Tchekov demandant à son médecin un dernier verre pour la route, il y a longtemps que je n’ai pas bu de champagne ». Ce seul-en-scène rassemble tout ce que j’aime, la légèreté du bel esprit et la profondeur philosophique d’une interrogation existentielle qui nous est commune. Comment conclure ? Vous n’aurez pas le dernier mot !Stéphane BERNLa distribution Stéphane BERN L'équipe Diane DUCRET Autrice Jean-Pascal PRACHT Lumières Jérémie LIPPMANN Metteur en scène Alexandra LUCIANI Assistante à la mise en scène Jacques GABEL Scénographie Colombe LAURIOT PREVOST Costumes
qXpImA. n2dnnn6u0q.pages.dev/452n2dnnn6u0q.pages.dev/443n2dnnn6u0q.pages.dev/203n2dnnn6u0q.pages.dev/264n2dnnn6u0q.pages.dev/229n2dnnn6u0q.pages.dev/165n2dnnn6u0q.pages.dev/264n2dnnn6u0q.pages.dev/106
c était quand la dernière fois pièce de théâtre